Dans le monde contemporain, nous devons faire face aux grands
problèmes empêchant le développement de la société. Tels sont la drogue, la
surpopulation, la pollution, la crise économique etc.… Bien sûr, non seulement
ils affectent négativement la vie des gens, mais encore ils causent les
mauvaises conséquences très dangereuses pour notre avenir. Et un des
« catastrophes » existant dans les établissements scolaires attire
de plus en plus l’attention du public, c’est « la violence en milieu
scolaire ». Est-elle un fléau récent ? Quelles sont les causes
possibles ? Que faire pour améliorer la situation ?
Pendant ces derniers temps, nous pouvons trouver
facilement les informations concernant « violence » dans les médias
tels que dans la presse, à la télévision, à la radio et surtout
à l’Internet. Les actions de violence à travers les photos, les
vidéo-clips des jeunes, surtout des adolescents sont filmées et diffusées
sur les sites web. C’est aussi un sujet sur lequel on discute beaucoup dans des
forums. La violence en milieu scolaire est des actes offensant les autres :
Les élèves ont les attitudes mauvaises envers des enseignements, ils prennent
le couteau de tuer leurs amis… et quelques professeurs les insultent (nous ne
abordons pas ce problème). Les jeunes se battent cruellement en milieu
scolaire : en classe, dans la cour...avec les armes pointues, tranchants
très dangereux. Bien des fois nous sommes témoins des mauvaises scènes dans
la rue. Mais personne n’ose intervenir. Les uns se tiennent tranquilles comme
s’ils regardaient un film de Hollywood et les autres les encouragent avec « l’enthousiasme ».
Après avoir filmé toutes les scènes, ils postent sur Youtube. Plus nous voyons
ces vidéos violentes, plus il est très étonnant de savoir que « les chefs
de la canaille » revêtissent toujours l’uniforme scolaire. Selon des
informations données par le Ministère de l'éducation et de la formation,
pendant seulement une année, de 2009 à 2010, il y a plus de 1598 combats
entre élèves. Il nous faut avouer que ce choc reste à jamais dans notre
mémoire. Qu’est ce qu’ils gagnent de ces combats ? De rien, nous
en sommes sûrs, sauf les graves blessures physiques et les mauvais souvenirs
gravés dans leur mémoire. Et pourtant, ils n’ont pas conscience de leurs actes
et continuent leurs bêtises. Des questions se
posent : « Qu’est ce qui a poussé les jeunes à faire la
violence ? Quelles en sont les causes ? À qui est la faute ? Qui
doit être responsable de ces mauvaises conséquences ? Que devons- nous
faire ? »
Subjectivement, ce sont l'absence d'un développement global, le manque de la
personnalité, de la capacité à contrôler le comportement, des expériences dans
la compétence vitale qui cause la violence.
Nous avouons une vérité, c’est que dans le programme de
l’apprentissage, les élèves n’ont aucun cours de moral. En effet, ils passent
beaucoup de temps à étudier tant de choses en théorie mais ils ne
savent pas encore comment se comporter avec dignité dans la vie : un jeune
de seize ans ne cède le pas à une personne âgée dans l’ascenseur. Il n’est pas
difficile de voir les situations similaires dans les lieux publics. Ils
bousculent les plus jeunes ou plus âgés pour l’achat d’un tel produit, pour une
place de cinéma ou dans un bus...
Si les jeunes d’aujourd’hui peuvent retenir
clairement la définition du moral, ils n’auront plus jamais de telles mauvaises
actions. Comme ils ne connaissent jamais le rôle important de « cette
valeur » dans la vie, ils continuent à causer la violence, à faire
des bêtises. Il faut encourager les jeunes à participer à des activités
sociales ou sportives. À travers ces faits, nous espérons qu’ils deviennent plus
matures. Cela les aide à partager les sentiments, les émotions et notamment à
sympathiser avec les autres.
Au point de vue de la gestion de toutes les
activités quotidiennes chez les jeunes, ce n’est pas facile. Il faut bien établir le
contact entre les professeurs surtout le professeur principal et les
parents d’élèves. Au cas où un tel élève qui se montre
« obstiné » « agaçant »..., il faut faire savoir ou
avertir tout de suite à ses parents.
Du côté des parents, il faut bien surveiller ce que font
leurs enfants. Sinon, c’est vraiment dangereux. Avec le développement de la
nouvelle technologie ainsi que les médias, les jeunes trouvent tout sur
l’Internet grâce à un ordinateur connecté. Ils voient les films de caractère
mauvais ou violent et ils imitent. La violence pourrait être de son origine.
Les parents doivent consacrer plus de temps pour s’occuper d’eux. Ils
doivent connaître les relations d’amis de leurs enfants, leur emploi du temps à
l’école...
Nous affirmons que la violence apparait partout. Dans le sport, nous
« contemplons » plusieurs batailles dans le stade de Ninh Binh,
de Vinh, de Pleiku… causées des raisons si stupides. Ces images se souviennent
dans la mémoire des enfants en changeant leurs caractères. Or elle ne s’arrête
jamais, elle occupe notre écran en les films sans air de l’art : Un homme
armé indifférent tue une femme pitoyable sur les mains de qu’un petit enfant
pleure. Est ce que nous trouvons leur leçon de l’amour, de l’amitié ? Rien
nous ne bien profite. Si selon nous le sang, les mortes, la souffrance et aussi
les cries sont « les cadeaux », nous les possédons. De plus, ils ne
vivent pas seulement dans les télévisions, les jeux en lignes les promeuvent
aussi. Il est très dangereux que les jeunes entrent les rôles dans ces
programmes. Un jour, ils ne distinguent pas ce qui est réel, ce qui est
virtuel. Ils ne cessent d’y penser, « leur
cœur » est remplacé par la force imaginaire, par « la séduction
sirupeuse de la Morte ». Ces jeux ressemble à la drogue qui les détruit
lentement mais douloureusement à la fin. Tous sont toujours finis par la
regrette, néanmoins ils ne peuvent jamais changer le passé. C’est pourquoi, il
est obligé de supprimer ces filmes, ces jeux en ligne sans hésister.
L’inconscience des citoyens contribue au développement de
la violence. Comme nous voyons dans des vidéos clips, les gens ne réagissent
pas, ils n’ont qu’à regarder. Pourquoi est-ce qu’ils ne n’interviennent pas,
ils ne crient pas, ou au moins, passent un coup de fil à la police pour demande l’aide ?
« Ce n’est pas mon problème », dit un étudiant de dix-sept ans après avoir
vu un heurt. Nous pouvons aussi dire que : l’indifférence abusive de
certains est une des causes qui « fait vivre » la violence.
Conséquemment, la douleur physique et mentale des jeunes,
de leurs familles, de leurs amis n’est pas évitée lorsque la peur couvre notre
société. Les jeunes se détruisent leur futur et peuvent devenir les graines de
la criminalité. Bien sur, les autres les fuient, haïssent, condamnent. C’est fâcheux !
Pour conclure, la violence est un problème sérieux de
la société, un cauchemar de tout le monde parce qu’elle pourrait détruire
toute une jeune génération. Pour arrêter ou pour limiter cette
catastrophe, c’est non seulement la tâche des responsables mais
aussi celle de nous tous dans la recherche de trouver de bonnes
solutions. Nous avons besoin d’une grande coopération de tous les côtés. C’est
vraiment un problème difficile à résoudre mais rien n’est impossible.
Ne la vote jamais !